"Il continue à enseigner (...) aussi parce que c'est une leçon d'humilité, cela lui fait comprendre la place qui est la sienne dans le monde. Ce qu'il y a là d'ironique ne lui échappe pas : c'est celui qui enseigne qui apprend la plus âpre des leçons, alors que ceux qui sont là pour apprendre quelque chose n'apprennent rien du tout."
(J.M. Coetzee, Prix Nobel de littérature 2003, in Disgrâce)
mardi 29 avril 2008
Le 16 juin 2008
Les étudiants qui veulent suivre la conférence The B method sont priés de se faire connaître.
Ceux qui veulent installer, utiliser la plateforme Rodin auront l'occasion d'obtenir des conseils.
Un étudiant de 2ième année devrait faire un exposé sur son expérience de stage au Royaume-Uni.
Ceux qui veulent installer, utiliser la plateforme Rodin auront l'occasion d'obtenir des conseils.
Un étudiant de 2ième année devrait faire un exposé sur son expérience de stage au Royaume-Uni.
Les notes du DS Spec2
Ont été données au secrétariat. Elles seront affichées demain matin. J'ai tenu les délais.
Comme indiqué sur les feuilles de notes, je n'ai pas encore pris en compte vos commentaires de vos erreurs et vos réponses aux questions posées dans le corrigé. Je ne les ai reçues que hier soir 17 heures !
J'ai tenu compte de ce que j'ai écrit dans le corrigé. J'ai en conséquence modifié le coefficient multiplicateur pour mettre les notes sur 20.
Ma notation est mauvaise en terme d'évaluation des connaissances. En effet, j'avais mis des questions qui permettaient de vérifier la cohérence des réponses. J'ai fait une notation par question indépendamment des réponses à d'autres questions. ... Que ne fait-on pas pour objectivement monter les notes !
Il reste les notes de dossiers.
Comme indiqué sur les feuilles de notes, je n'ai pas encore pris en compte vos commentaires de vos erreurs et vos réponses aux questions posées dans le corrigé. Je ne les ai reçues que hier soir 17 heures !
J'ai tenu compte de ce que j'ai écrit dans le corrigé. J'ai en conséquence modifié le coefficient multiplicateur pour mettre les notes sur 20.
Ma notation est mauvaise en terme d'évaluation des connaissances. En effet, j'avais mis des questions qui permettaient de vérifier la cohérence des réponses. J'ai fait une notation par question indépendamment des réponses à d'autres questions. ... Que ne fait-on pas pour objectivement monter les notes !
Il reste les notes de dossiers.
mardi 22 avril 2008
Etonnant, n'est-ce pas ?
Relevé dans les copies :
- La différence essentielle entre le B classique et le B événementiel :
"le B événementiel trait le cas qui séffectue que une foi lord de l'event"
- Les différences importantes (hors celles relatives à la représentation graphique) entre les Réseaux de Petri et le Grafcet :
"Le réseau de Pétri prend en compte les blocages possible en déffinissant le nombre d'éléments (jeton)"
Quand j'ai des réponses, elles sont de ce type. Bof bof bof.
Et ce qui est inquiétant ce sont les contradictions ou ... je ne sais comment qualifier.
Exemple :
On vous demande "est-ce que le système S1 et le système S2 sont en bissimulation faible ?" et au lieu de me répondre oui ou non, certains ont rédigé comme réponse :
"S1" est en bissimulation faible.
Etonnant n'est-ce pas ? On vous demande si a= b et vous répondez "a est égal".
Et heureusement que ça fait bien longtemps que les enseignants n'écrivent plus qu'ils enlèveront des points pour les fautes d'orthographe.
Quand on demande une réponse formelle, on n'en obtient pas et quand on la demande sous forme de deux à trois phrases en français, c'est affligeant.
J'ai trouvé :
momment
dir
les tiraits
propriété de progret
et bien sûr participe passé, infinitif, c'est quoi ? On comprend que des étudiants (?!) qui écrivent ainsi aient bien des difficultés à modéliser ou même à lire des modélisations. Mais nous approchons de l'informatique de nouvelle génération : il suffira de demander à l'ordinateur "pouvez vous me dire ce que je veux ?".
et beaucoup (au moins 1/3) ne recopient même pas correctement les mots de la question.
Exemple : Je demandais "qui a raison" et j'obtiens comme réponse "Duchnock a résondt"
Il y en a encore trop qui ne savent toujours pas ce qu'est une fonction. C'est qu'ils n'ont jamais vu cela au lycée, à l'Iut. Evident !
- La différence essentielle entre le B classique et le B événementiel :
"le B événementiel trait le cas qui séffectue que une foi lord de l'event"
- Les différences importantes (hors celles relatives à la représentation graphique) entre les Réseaux de Petri et le Grafcet :
"Le réseau de Pétri prend en compte les blocages possible en déffinissant le nombre d'éléments (jeton)"
Quand j'ai des réponses, elles sont de ce type. Bof bof bof.
Et ce qui est inquiétant ce sont les contradictions ou ... je ne sais comment qualifier.
Exemple :
On vous demande "est-ce que le système S1 et le système S2 sont en bissimulation faible ?" et au lieu de me répondre oui ou non, certains ont rédigé comme réponse :
"S1" est en bissimulation faible.
Etonnant n'est-ce pas ? On vous demande si a= b et vous répondez "a est égal".
Et heureusement que ça fait bien longtemps que les enseignants n'écrivent plus qu'ils enlèveront des points pour les fautes d'orthographe.
Quand on demande une réponse formelle, on n'en obtient pas et quand on la demande sous forme de deux à trois phrases en français, c'est affligeant.
J'ai trouvé :
momment
dir
les tiraits
propriété de progret
et bien sûr participe passé, infinitif, c'est quoi ? On comprend que des étudiants (?!) qui écrivent ainsi aient bien des difficultés à modéliser ou même à lire des modélisations. Mais nous approchons de l'informatique de nouvelle génération : il suffira de demander à l'ordinateur "pouvez vous me dire ce que je veux ?".
et beaucoup (au moins 1/3) ne recopient même pas correctement les mots de la question.
Exemple : Je demandais "qui a raison" et j'obtiens comme réponse "Duchnock a résondt"
Il y en a encore trop qui ne savent toujours pas ce qu'est une fonction. C'est qu'ils n'ont jamais vu cela au lycée, à l'Iut. Evident !
Pédagogie
" Or certains n'admettent qu'un langage mathématique ; d'autres ne veulent que des exemples ; d'autres entendent qu'on recoure à l'autorité de quelque poète ; d'autres, enfin, exigent pour toutes choses une démonstration rigoureuse, tandis que d'autres jugent cette rigueur excessive, soit par impuissance à suivre la chaîne du raisonnement, soit par crainte de se perdre dans les futilités."
Aristote, La métaphysique, tome 1, Vrin
Aristote, La métaphysique, tome 1, Vrin
lundi 21 avril 2008
Perles qui ne sont pas des perles de culture
... mais peut-être est-ce la "culture à la française", pur produit naturel.
Rappelons la question (dont la réponse était fournie AVANT le ds sur le présent bloc-notes) :
"[...] C'est pourquoi, à cette époque, on avait envisagé que sur les 12600 mètres de longueur totale du tunnel, les Italiens perceraient 6 750 mètres de galerie et les Français 5 850 mètres, afin que la rencontre s'effectue au même moment" (article paru dans l'Economie, n° 826, 14 juin 1962)"
Après l'enseignement du module spec2, quelle est votre remarque pertinente sur ce texte.
Merci à Claude Gagnière qui nous a offert sa merveille "Pour tout l'art des mots" que tout étudiant devrait lire et relire. Mais je rêve !
Rappelons qu'en Spec2, nous avons travaillé sur le "rendez-vous" !
Voici comme annoncé aux étudiants (avant le Ds quand je les ai averti de la question à venir) ce que j'ai trouvé dans les copies (j'ai conservé les fautes d'orthographe) :
- " Ce texte n'a pas de sens puisqu'on ne peut creuser que dans un sens car sinon on ne sait pas si les deux tunnels se rencontreront bien en face l'un de l'autre voir pas du tout."
- "La rencontre ne se fera pas obligatoirement au même moment, ils se rencontreront mais pas au même instant (les Italiens doivent creuser plus que les Français) dans le temps." (un étudiant qui en rajoute !)
- "Si le travail est fait en parallèle, pourquoi l'Italie creuserait plus de galerie que la France ?"
- "Lors du percement, on voulait un rendez-vous entre les 2 nations sous la roche. Pour qu'il y ait rendez-vous, il faut être au même endroit au même moment, c'est pourquoi, on a calculé les longueurs à percer pour les deux nations."
- "Cette phrase n'a pas de sens : "au même moment" puisque c'est un tunnel, il vont forcément ce rencontrer "au même moment"".
- "Il n'est pas forcément faux, soit les Français on des travaux plus délicats ou difficile (la roche, la geoposition, ...) soit la Franche (sic) met moin de moyen pour la création du tunnel soit la France fait un travail plus lent (et peut être plus minussieu). On manque cruellement de donné Se qui est ssur c'est que la France creuse moin "
- "Si la rencontre s'effectue au même moment, mais que les Italiens percent plus de mêtres de galerie que les Françaos alors cela voudrait dire que soit les Italiens ont plus de moyens mi en oeuvre, soit ils sont plus rapide que les Français"
- "On ne peut définir le moment de rencontre avec ces indications. La vitesse de perçage des Italiens et celle des Français n'est pas spécifiée, ni le début des travaux en France, et celui en Italie."
- "Certes 6750 mètres plus 5850 mètres font 12 000 mètres. Mais ce n'est pas sûr que les Italiens et les Français travaillent au même rythme. Je dirai même qu'il ne travail pas au même rythme donc la rencontre ne pourrait s'effectuer au même moment." (au fait, c'est quoi le rythme ?)
- "Ce texte paraît dénué de sens dans la mesure om l'on ne sait pas pourquoi les Français ont moins à creuser que les Italiens (matériel, nature de la roche ...) (Où allez vous chercher le sens ? Analyse syntaxique, analyse sémantique ... revoyez les fondamentaux avant que Monsieur ou Madame la Ministre le claironne à la télé)
- "Dans la phrase "la rencontre s'effectue au même moment" (bien qu'on peut avoir du mal à envisager qu'une rencontre entre deux individu ait lieu à des moment different) ; il nous faut comprendre que les protagoniste creuseront dans la même direction mais dans des sens opposé. Ce qui n'est pas spécifié." (après avoir eu bien du mal, pouvez-vous nous faire profiter de votre souffrance ?)
- "On remarque que les Italiens ont perçé 1900 m de plus que les français. Le fait de s'être mis d'accord sur le partage de la distance à percer n'explique pas que la rencontre s'effectuera au même moment puisque cela dépend de la vitesse du perçage. " et étonnant l'étudiant poursuit par "De plus, ... dans tous les cas la rencontre se fera au même moment dès qu'un des deux protagonistes rejoindra l'autre." (de la suite dans les idées !)
- "on peut dire que pour que la rencontre se fasse, les français doivent avancés moins vite que les italiens, et qu'il faut encore que les 2 tunnels ne se rate pas. Sur le texte lui-même la phrase "la rencontre s'effectue au même moment est idiote car une rencontre, c'est forcément au même moment." (Ah et si les Italiens avancent moins vite que les Français, la rencontre ne se fera pas ? Et le cours sur la propriété de fatalité (eventually ... fatalement) ?)
-"On ne comprend pas pourquoi les Italiens ont plus à creuser. Il aurait fallu expliquer pourquoi ; s'agit-il de la nature de la roche, ont-ils commencé à creuser avant, ..." (ce que c'est que l'incompréhension, ma bonne dame ! on nous cache tout, on nous dit rien ! Ah ! ces journalistes !)
- "Les Italiens creusent 6750 mètres de galeries et les Français n'en creusent seulement que 5850 mètres, donc pour que la rencontre se fasse au même moment il faut que les Italiens commencent à creuser avant les Français (900 mètres exactement) " (quelle injustice !)
- "Les Italiens sont plus rapides !" (et le lecteur du texte, encore plus !)
-"En théorie l'Italie et la France auraient dû se partager équitablement le travail, soit 6300 mètres chacun. Après l'enseignement du module spec2, peut-on supposer que les français travaillent moins que les étrangers ? ..." (La théorie ? Quelle théorie ? Comme répondait Ted Codd aux imbéciles qui lui disaient que les "bases de données relationnelles" c'était de la théorie et que donc bof, bof, bof... il répondait que la bombe atomique c'était aussi de la théorie. Mais la démago pédago a fait son oeuvre : la théorie disparaît des enseignements d'informatique. A quoi me sert la théorie pour faire fonctionner ma free boxHD ? Quelle théorie ? . Encore un peu d'effort et nous nos établissements deviendront de grands cafés du commerce. Une idée pour le redressement du pays, Attali y-a-t-il pensé ? Lui, il sort de l'X. )
- "Il manque des information, c'est bien beau de donné des longueur mais si les types de roche sont différent d'un côté a l'autre, on peut mettre 3 jours a creuser d'un coté et 2h de l'autre. En plus il y a risque d'évitement, qu'un tunnel soit plus bas ou plus a droite"
- Or "la rencontre s'effectue au même moment" est fort peu probable compte tenu des vitesses supposé égale et des distances visiblement différentes; Enfin, qui dit que français et italiens partiraient des extremités de la galerie ? On ne sait pas."
- Si on doit creuser 12600 mètres de longueur et que les italiens perceraient 6750 mètre et les Français 5850 mètres et que les 2 pays se rencontre en même temps alors les Français devraient creuser un endroit plus difficiel ou/et avec une roche plus dure que les Italiens."
- "La rencontre ne s'effectuera pas forcément au même moment juste parce que la somme des longueurs est égale au total.Il faut,soit que les Français travaillent moins vite, soit que les Italiens commence à creuser plus tôt que les Français."
- "Qu'est-ce qui nous dit que les italiens et français travaillent en parallèle et que les italiens sont plus rapides que les français ?"
- "Il faut que les 2 pays creusent au même endroit"
- "Le décalage horaire force les Italiens à commencer plus tôt, donc à creuser plus, sachant que la journée de travail en France n'est que de 35 h."
- "Les français sont de moins bons mineurs"
- "les français et les italiens travaillaient en mode synchrone"
- "Les Italiens percent mieux que les Français"
-"Il devrait y avoir la même longueur à percer de chaque côté. Mais on ne sait si la roche est plus ductile d'un côté, plus solide de l'autre côté." (la roche ductile !? de la glaise ?)
- "On peut penser que les Italiens avait une partie plus facile à percer ou bien qu'ils étaient plus rapide à percer"
- "Pour que la rencontre s'effectue "au même moment" il aurait fallu donner le même nombre de mètres de tunnel à chaque pays (6300 mètres chacun)"
- "Il n'est pas assuré que la rencontre se fasse exactement en même temps. Il y a un risque potentiel de danger. C'est du pifomètre ("on avait envisagé")"
- "j'en déduit que la frontière passant au dessus du mont blanc était à 5850 du début du tunnel français et à 6750 m de celui des Italiens (a vol d'oiseau biensur !)"
- "On exprime le perçage du tunnel en mètre. La rencontre doit donc s'effectuer à un endroit (type "lieu"). Dans le texte, elle s'effectue "au même moment", il est absurde que cela soit exprimé par un type "temps"" (Ca c'est du discours arnacologique mais comme Monsieur Jourdain faisait de la prose)
Une réponse qui est correcte mais passe à côté du "au même moment" :
- "Les Italiens percent plus vite que les Français ou alors les Italiens ont commencé de percer avant les Français"
Et puisqu'on a appris aux lycéens à s'exprimer, voici une réponse comme on en trouve de plus en plus (des "brèves" de copies) :
- " Un rencontre s'effectu au même moment et les français sont des feniants" (un étudiant qui sait de quoi il parle, à en juger par ses non réponses à la majorité des questions)
Et toujours des difficultés avec forme et sens.
- "Leur phrase est très mal formulée, que veut dire "que la rencontre s'effectue au même moment". Rien.
Puisque que quand les Français rencontreront les Italiens, il en ira forcément de même pour les Italiens."
Et il y a ceux qui veulent à tout prix déborder des zones fournies pour écrire la réponse (on leur a dit que les réponses devaient tenir dans ces zones. Qu'est-ce qu'on peut inventer dans la pédagogie moderne ! Et encore je n'ai pas fait l'IUFM où on apprend, m'a-t-on dit, à écrire au tableau tout en regardant les élèves pour éviter crachats etc... voir notre message sur notre bloc-notes lefenetrou relatif aux maladies des enseignants)
- "Le tunnel fait bien au total 12 600 mètres quand on additionne la distance pour les Français et les Italiens. Cependant, seul le temps de perçage influera sur la distance du point de rencontre par rapport au bord de la montagne. Par conséquent,peut importe la distance parcourue par chacun d'eux, la rencontre s'effectuera toujours au même moment. De plus la rencontre devrait s'effectuer au même moment à 6300 mètres (12600/2) alors que les Français parcourent 5850 mètres et les Italiens 6750 mètres donc elle aura lieu au même moment mais à une distance différente." (Sans doute un étudiant qui a appris qu'on est payé à la ligne. Il paraît qu'il faut mettre au moins 3/20 quand un élève a écrit quelques mots sur sa copie)
Je pense que la majorité de nos étudiants sont des numérologues qui s'ignorent.
P.S. : Nous avions comme dernière question, une configuration du jeu de la vie. Il fallait donner la configuration après une génération. AUCUNE bonne réponse sur une centaine de copies ! Bof, bof, bof. Il y en a des pages et des pages sur la Toile. Alors ...
Rappelons la question (dont la réponse était fournie AVANT le ds sur le présent bloc-notes) :
"[...] C'est pourquoi, à cette époque, on avait envisagé que sur les 12600 mètres de longueur totale du tunnel, les Italiens perceraient 6 750 mètres de galerie et les Français 5 850 mètres, afin que la rencontre s'effectue au même moment" (article paru dans l'Economie, n° 826, 14 juin 1962)"
Après l'enseignement du module spec2, quelle est votre remarque pertinente sur ce texte.
Merci à Claude Gagnière qui nous a offert sa merveille "Pour tout l'art des mots" que tout étudiant devrait lire et relire. Mais je rêve !
Rappelons qu'en Spec2, nous avons travaillé sur le "rendez-vous" !
Voici comme annoncé aux étudiants (avant le Ds quand je les ai averti de la question à venir) ce que j'ai trouvé dans les copies (j'ai conservé les fautes d'orthographe) :
- " Ce texte n'a pas de sens puisqu'on ne peut creuser que dans un sens car sinon on ne sait pas si les deux tunnels se rencontreront bien en face l'un de l'autre voir pas du tout."
- "La rencontre ne se fera pas obligatoirement au même moment, ils se rencontreront mais pas au même instant (les Italiens doivent creuser plus que les Français) dans le temps." (un étudiant qui en rajoute !)
- "Si le travail est fait en parallèle, pourquoi l'Italie creuserait plus de galerie que la France ?"
- "Lors du percement, on voulait un rendez-vous entre les 2 nations sous la roche. Pour qu'il y ait rendez-vous, il faut être au même endroit au même moment, c'est pourquoi, on a calculé les longueurs à percer pour les deux nations."
- "Cette phrase n'a pas de sens : "au même moment" puisque c'est un tunnel, il vont forcément ce rencontrer "au même moment"".
- "Il n'est pas forcément faux, soit les Français on des travaux plus délicats ou difficile (la roche, la geoposition, ...) soit la Franche (sic) met moin de moyen pour la création du tunnel soit la France fait un travail plus lent (et peut être plus minussieu). On manque cruellement de donné Se qui est ssur c'est que la France creuse moin "
- "Si la rencontre s'effectue au même moment, mais que les Italiens percent plus de mêtres de galerie que les Françaos alors cela voudrait dire que soit les Italiens ont plus de moyens mi en oeuvre, soit ils sont plus rapide que les Français"
- "On ne peut définir le moment de rencontre avec ces indications. La vitesse de perçage des Italiens et celle des Français n'est pas spécifiée, ni le début des travaux en France, et celui en Italie."
- "Certes 6750 mètres plus 5850 mètres font 12 000 mètres. Mais ce n'est pas sûr que les Italiens et les Français travaillent au même rythme. Je dirai même qu'il ne travail pas au même rythme donc la rencontre ne pourrait s'effectuer au même moment." (au fait, c'est quoi le rythme ?)
- "Ce texte paraît dénué de sens dans la mesure om l'on ne sait pas pourquoi les Français ont moins à creuser que les Italiens (matériel, nature de la roche ...) (Où allez vous chercher le sens ? Analyse syntaxique, analyse sémantique ... revoyez les fondamentaux avant que Monsieur ou Madame la Ministre le claironne à la télé)
- "Dans la phrase "la rencontre s'effectue au même moment" (bien qu'on peut avoir du mal à envisager qu'une rencontre entre deux individu ait lieu à des moment different) ; il nous faut comprendre que les protagoniste creuseront dans la même direction mais dans des sens opposé. Ce qui n'est pas spécifié." (après avoir eu bien du mal, pouvez-vous nous faire profiter de votre souffrance ?)
- "On remarque que les Italiens ont perçé 1900 m de plus que les français. Le fait de s'être mis d'accord sur le partage de la distance à percer n'explique pas que la rencontre s'effectuera au même moment puisque cela dépend de la vitesse du perçage. " et étonnant l'étudiant poursuit par "De plus, ... dans tous les cas la rencontre se fera au même moment dès qu'un des deux protagonistes rejoindra l'autre." (de la suite dans les idées !)
- "on peut dire que pour que la rencontre se fasse, les français doivent avancés moins vite que les italiens, et qu'il faut encore que les 2 tunnels ne se rate pas. Sur le texte lui-même la phrase "la rencontre s'effectue au même moment est idiote car une rencontre, c'est forcément au même moment." (Ah et si les Italiens avancent moins vite que les Français, la rencontre ne se fera pas ? Et le cours sur la propriété de fatalité (eventually ... fatalement) ?)
-"On ne comprend pas pourquoi les Italiens ont plus à creuser. Il aurait fallu expliquer pourquoi ; s'agit-il de la nature de la roche, ont-ils commencé à creuser avant, ..." (ce que c'est que l'incompréhension, ma bonne dame ! on nous cache tout, on nous dit rien ! Ah ! ces journalistes !)
- "Les Italiens creusent 6750 mètres de galeries et les Français n'en creusent seulement que 5850 mètres, donc pour que la rencontre se fasse au même moment il faut que les Italiens commencent à creuser avant les Français (900 mètres exactement) " (quelle injustice !)
- "Les Italiens sont plus rapides !" (et le lecteur du texte, encore plus !)
-"En théorie l'Italie et la France auraient dû se partager équitablement le travail, soit 6300 mètres chacun. Après l'enseignement du module spec2, peut-on supposer que les français travaillent moins que les étrangers ? ..." (La théorie ? Quelle théorie ? Comme répondait Ted Codd aux imbéciles qui lui disaient que les "bases de données relationnelles" c'était de la théorie et que donc bof, bof, bof... il répondait que la bombe atomique c'était aussi de la théorie. Mais la démago pédago a fait son oeuvre : la théorie disparaît des enseignements d'informatique. A quoi me sert la théorie pour faire fonctionner ma free boxHD ? Quelle théorie ? . Encore un peu d'effort et nous nos établissements deviendront de grands cafés du commerce. Une idée pour le redressement du pays, Attali y-a-t-il pensé ? Lui, il sort de l'X. )
- "Il manque des information, c'est bien beau de donné des longueur mais si les types de roche sont différent d'un côté a l'autre, on peut mettre 3 jours a creuser d'un coté et 2h de l'autre. En plus il y a risque d'évitement, qu'un tunnel soit plus bas ou plus a droite"
- Or "la rencontre s'effectue au même moment" est fort peu probable compte tenu des vitesses supposé égale et des distances visiblement différentes; Enfin, qui dit que français et italiens partiraient des extremités de la galerie ? On ne sait pas."
- Si on doit creuser 12600 mètres de longueur et que les italiens perceraient 6750 mètre et les Français 5850 mètres et que les 2 pays se rencontre en même temps alors les Français devraient creuser un endroit plus difficiel ou/et avec une roche plus dure que les Italiens."
- "La rencontre ne s'effectuera pas forcément au même moment juste parce que la somme des longueurs est égale au total.Il faut,soit que les Français travaillent moins vite, soit que les Italiens commence à creuser plus tôt que les Français."
- "Qu'est-ce qui nous dit que les italiens et français travaillent en parallèle et que les italiens sont plus rapides que les français ?"
- "Il faut que les 2 pays creusent au même endroit"
- "Le décalage horaire force les Italiens à commencer plus tôt, donc à creuser plus, sachant que la journée de travail en France n'est que de 35 h."
- "Les français sont de moins bons mineurs"
- "les français et les italiens travaillaient en mode synchrone"
- "Les Italiens percent mieux que les Français"
-"Il devrait y avoir la même longueur à percer de chaque côté. Mais on ne sait si la roche est plus ductile d'un côté, plus solide de l'autre côté." (la roche ductile !? de la glaise ?)
- "On peut penser que les Italiens avait une partie plus facile à percer ou bien qu'ils étaient plus rapide à percer"
- "Pour que la rencontre s'effectue "au même moment" il aurait fallu donner le même nombre de mètres de tunnel à chaque pays (6300 mètres chacun)"
- "Il n'est pas assuré que la rencontre se fasse exactement en même temps. Il y a un risque potentiel de danger. C'est du pifomètre ("on avait envisagé")"
- "j'en déduit que la frontière passant au dessus du mont blanc était à 5850 du début du tunnel français et à 6750 m de celui des Italiens (a vol d'oiseau biensur !)"
- "On exprime le perçage du tunnel en mètre. La rencontre doit donc s'effectuer à un endroit (type "lieu"). Dans le texte, elle s'effectue "au même moment", il est absurde que cela soit exprimé par un type "temps"" (Ca c'est du discours arnacologique mais comme Monsieur Jourdain faisait de la prose)
Une réponse qui est correcte mais passe à côté du "au même moment" :
- "Les Italiens percent plus vite que les Français ou alors les Italiens ont commencé de percer avant les Français"
Et puisqu'on a appris aux lycéens à s'exprimer, voici une réponse comme on en trouve de plus en plus (des "brèves" de copies) :
- " Un rencontre s'effectu au même moment et les français sont des feniants" (un étudiant qui sait de quoi il parle, à en juger par ses non réponses à la majorité des questions)
Et toujours des difficultés avec forme et sens.
- "Leur phrase est très mal formulée, que veut dire "que la rencontre s'effectue au même moment". Rien.
Puisque que quand les Français rencontreront les Italiens, il en ira forcément de même pour les Italiens."
Et il y a ceux qui veulent à tout prix déborder des zones fournies pour écrire la réponse (on leur a dit que les réponses devaient tenir dans ces zones. Qu'est-ce qu'on peut inventer dans la pédagogie moderne ! Et encore je n'ai pas fait l'IUFM où on apprend, m'a-t-on dit, à écrire au tableau tout en regardant les élèves pour éviter crachats etc... voir notre message sur notre bloc-notes lefenetrou relatif aux maladies des enseignants)
- "Le tunnel fait bien au total 12 600 mètres quand on additionne la distance pour les Français et les Italiens. Cependant, seul le temps de perçage influera sur la distance du point de rencontre par rapport au bord de la montagne. Par conséquent,peut importe la distance parcourue par chacun d'eux, la rencontre s'effectuera toujours au même moment. De plus la rencontre devrait s'effectuer au même moment à 6300 mètres (12600/2) alors que les Français parcourent 5850 mètres et les Italiens 6750 mètres donc elle aura lieu au même moment mais à une distance différente." (Sans doute un étudiant qui a appris qu'on est payé à la ligne. Il paraît qu'il faut mettre au moins 3/20 quand un élève a écrit quelques mots sur sa copie)
Je pense que la majorité de nos étudiants sont des numérologues qui s'ignorent.
P.S. : Nous avions comme dernière question, une configuration du jeu de la vie. Il fallait donner la configuration après une génération. AUCUNE bonne réponse sur une centaine de copies ! Bof, bof, bof. Il y en a des pages et des pages sur la Toile. Alors ...
samedi 19 avril 2008
Documentation technique, Tchernobyl
"Dis donc, ici dans ce programme, il est dit comment procéder, et ensuite je vois que d'importants passages ont été biffés ; qu'est-ce que je dois faire ?"
Après un instant de réflexion, l'autre lui répond : "Procède selon ce qui est supprimé.""
Communications entre deux opérateurs de la centrale de Tchernobyl la veille de l'avarie.
Publié par la Pravda le 20 mai 1988, Testament de Legassov
Cité dans Morts pour la science, ouv. cité, page 112
P.S. : Pourquoi un dossier de specs 2 ? Bof, bof, bof !
Après un instant de réflexion, l'autre lui répond : "Procède selon ce qui est supprimé.""
Communications entre deux opérateurs de la centrale de Tchernobyl la veille de l'avarie.
Publié par la Pravda le 20 mai 1988, Testament de Legassov
Cité dans Morts pour la science, ouv. cité, page 112
P.S. : Pourquoi un dossier de specs 2 ? Bof, bof, bof !
mardi 15 avril 2008
A lire , l'opinion de Maurice Nivat
ICI
dans Interstices
Merci à Sébastien (j'ai deux Sébastien parmi mes envoyés spéciaux ! non rémunérés (coût = 0) , mais efficaces ! produits/ coût = l'infini ... des connaissances !
Je suis enseignant dans un département informatique et on est censé y enseigner la gestion. Et parler de "logiciel de gestion" quand on a un logiciel qui ne fait que permettre d'enregistrer des observations, ce n'est pas de la gestion ! Sinon, mon compteur d'eau est un "gestionnaire" !
dans Interstices
Merci à Sébastien (j'ai deux Sébastien parmi mes envoyés spéciaux ! non rémunérés (coût = 0) , mais efficaces ! produits/ coût = l'infini ... des connaissances !
Je suis enseignant dans un département informatique et on est censé y enseigner la gestion. Et parler de "logiciel de gestion" quand on a un logiciel qui ne fait que permettre d'enregistrer des observations, ce n'est pas de la gestion ! Sinon, mon compteur d'eau est un "gestionnaire" !
samedi 12 avril 2008
Dires de Prix Turing pour étudiants en informatique du XXIe siècle
- " You just read the manual and got the list of instructions and that was all you knew about programming. Everybody had to figure out how to accomplish something and there were of course a zillion different ways of doing it and people would do it in a zillion different ways." J. Backus, (Prix Turing, Fortran) années 40
- "I considered an intelligent thing as a finite automaton connected to an environment that was a finite automaton. I made an appointment to see John von Neumann. He was encouraging. He said, "Write it up, write it up" "
J. McCarthy (Prix Turing, Lisp)
- "To put it simply, the frame problem is not having to mention all the things that don't change when a particular action occurs."
J. McCarthy (Prix Turing, Lisp)
- "All understanding begins with our not accepting the world as it appears." Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- " By the time I got to school, I had already read a couple of hundred books." Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- "Computer programming is a bit like a Gregorian chant - a one-line melody changing state within larger scale sections. Parallel programming is more like polyphony." Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- "They (Air Force) needed programmers. This was back in the days when programming was a low status profession and most of the programmers were women. My boss was a women. They also were taking linguists ... It was actually a pretty interesting bunch." Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- "People rarely want what they need. Their wants are there for one reason and their needs for another. It is important for technology to match up needs and wants. " Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- "The mathematical culture of the day was very much identified with the continuum and infinity. Could a finite discrete problem be of any interest ?" E. Dijkstra (Prix Turing)
- "The programmers didn't like the idea at all because it deprived them of the intellectual excitement of not quite understanding what they were doing. They like the challenge of chasing the bugs." E. Dijkstra (Prix Turing)
- "Americans have a pathological fear of formal manipulation. It seems that the United States have a century of demathematicisation which of course is very tragic because in the same century the mathematical computer is invented which is a major mathematical challenge." E. Dijkstra (Prix Turing)
- " [...] This is not a random process. We are not tossing a coin. But is is nondeterministic because you have choices as to the next state (i.e., menu item selection) that you move into. [...] I must say we didn't see all the implications of this. Our notion of nondeterminism was for us a mathematical creation." " M.O Rabin (Prix Turing)
- "We remember thing by structure" M.O Rabin (Prix Turing)
- "Mathematics is the science of patterns. Music is patterns. Computer science does a lot with abstract things and making patterns. Computer science, I think, differs from other fields most in that it constantly jumps levels - from looking at something in the small to looking in the large." D. Knuth (Prix Turing)
- "In general, whatever you're trying to learn, if you can imagine trying to explain it to a computer, then you learn what you don't know about the subject. It helps you ask the right questions. It's the ultimate test of what you know." D. Knuth (Prix Turing)
- "The danger is to get into some branch of theory that becomes self-feeding and doesn'tie back into the real world." R. E. Tarjan (Prix Turing)
Extraits de Out of their minds, Dennis Shasha, Cathy Lazere, Copernicus, Springer-Verlag ISBN 0 487 97992 1
- "I considered an intelligent thing as a finite automaton connected to an environment that was a finite automaton. I made an appointment to see John von Neumann. He was encouraging. He said, "Write it up, write it up" "
J. McCarthy (Prix Turing, Lisp)
- "To put it simply, the frame problem is not having to mention all the things that don't change when a particular action occurs."
J. McCarthy (Prix Turing, Lisp)
- "All understanding begins with our not accepting the world as it appears." Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- " By the time I got to school, I had already read a couple of hundred books." Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- "Computer programming is a bit like a Gregorian chant - a one-line melody changing state within larger scale sections. Parallel programming is more like polyphony." Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- "They (Air Force) needed programmers. This was back in the days when programming was a low status profession and most of the programmers were women. My boss was a women. They also were taking linguists ... It was actually a pretty interesting bunch." Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- "People rarely want what they need. Their wants are there for one reason and their needs for another. It is important for technology to match up needs and wants. " Alan C. Kay (Prix Turing, Smalltalk)
- "The mathematical culture of the day was very much identified with the continuum and infinity. Could a finite discrete problem be of any interest ?" E. Dijkstra (Prix Turing)
- "The programmers didn't like the idea at all because it deprived them of the intellectual excitement of not quite understanding what they were doing. They like the challenge of chasing the bugs." E. Dijkstra (Prix Turing)
- "Americans have a pathological fear of formal manipulation. It seems that the United States have a century of demathematicisation which of course is very tragic because in the same century the mathematical computer is invented which is a major mathematical challenge." E. Dijkstra (Prix Turing)
- " [...] This is not a random process. We are not tossing a coin. But is is nondeterministic because you have choices as to the next state (i.e., menu item selection) that you move into. [...] I must say we didn't see all the implications of this. Our notion of nondeterminism was for us a mathematical creation." " M.O Rabin (Prix Turing)
- "We remember thing by structure" M.O Rabin (Prix Turing)
- "Mathematics is the science of patterns. Music is patterns. Computer science does a lot with abstract things and making patterns. Computer science, I think, differs from other fields most in that it constantly jumps levels - from looking at something in the small to looking in the large." D. Knuth (Prix Turing)
- "In general, whatever you're trying to learn, if you can imagine trying to explain it to a computer, then you learn what you don't know about the subject. It helps you ask the right questions. It's the ultimate test of what you know." D. Knuth (Prix Turing)
- "The danger is to get into some branch of theory that becomes self-feeding and doesn'tie back into the real world." R. E. Tarjan (Prix Turing)
Extraits de Out of their minds, Dennis Shasha, Cathy Lazere, Copernicus, Springer-Verlag ISBN 0 487 97992 1
jeudi 10 avril 2008
La vie d'une application (celle qui remplace Nabuco)
"Le groupement en charge du produit Sifac a relevé une anomalie importante
dans notre base de données.
C'est pourquoi et à la demande express de la Direction de projet de l'Université de Nantes et du groupement,
à partir de maintenant (jeudi 10 avril 2008 à 12H15),
je vous demande de vous déconnnecter et de ne plus réaliser de transactions sur la base de Production.
Je vous indiquerai dés que possible le retour à l'état normal. "
dans notre base de données.
C'est pourquoi et à la demande express de la Direction de projet de l'Université de Nantes et du groupement,
à partir de maintenant (jeudi 10 avril 2008 à 12H15),
je vous demande de vous déconnnecter et de ne plus réaliser de transactions sur la base de Production.
Je vous indiquerai dés que possible le retour à l'état normal. "
Cas ascenseur
I.U.T. de Nantes
Département informatique
Première année
Module Spec 2
Cas ascenseur
Rédigé par H. Habrias
Version n° 1 du 13-04-2004
1- Un ascenseur est composé d’une cabine pourvue d’une porte et de portes palières à chaque étage (on comptera dans les étages le rez-de-chaussée) desservi par la cabine.
2 - La cabine dispose à l’intérieur de boutons, un bouton par étage desservi.
3 - Les utilisateurs appuient sur le bouton intérieur qui indique l’étage où ils veulent aller. Le bouton est alors éclairé.
4 - Plusieurs boutons intérieurs peuvent être éclairés en même temps.
5 - Quand la cabine arrive à un étage demandé par un des utilisateurs, le bouton intérieur cesse d’être éclairé. La porte de la cabine s’ouvre en même temps que la porte palière.
6 - Au bout de 20 secondes, la porte de la cabine et la porte palière se referment en même temps.
7 - La porte palière d’un étage ne doit pas être ouverte si la cabine n’est pas à l’étage.
8 - La cabine ne doit pas être déplacée si la porte de la cabine est ouverte et si la porte palière est ouverte.
9 - Il y a deux boutons par étage. Ils sont situés à droite de la porte palière : un pour demander (en appuyant sur le bouton) la cabine pour descendre, un pour demander la cabine pour monter. Bien sûr le rez-de-chaussée et le dernier étage n’ont qu’un seul de ces deux boutons.
10 - Une fois qu’un utilisateur a appuyé sur un bouton, ce bouton s’éclaire. L’éclairage du bouton cesse lorsque la cabine qui va dans la direction du bouton s’arrête à l’étage.
11- On peut avoir les deux boutons de l’étage éclairés en même temps.
12 - Des capteurs permettent de savoir si une porte est fermée, si la cabine est arrivée à tel étage.
13 - Bien sûr des actionneurs permettent à la cabine de se déplacer, aux portes d’être ouvertes ou d’être fermées.
Question n°1
Listez les entrées (les événements) du système de contrôle de l’ascenseur.
Question n°2
Listez les commandes émises par le système de contrôle de l’ascenseur.
Question n°3
Faire l’automate de l’interface homme/système ascenseur.
Question n°4
Ecrire formellement les deux exigences suivantes :
- La porte palière d’un étage ne doit pas être ouverte si la cabine n’est pas à l’étage.
- La cabine ne doit pas être déplacée si la porte de la cabine est ouverte et si la porte palière est ouverte.
Question n°5
Enoncez une propriété :
d’absence de verrou fatal
de famine
Département informatique
Première année
Module Spec 2
Cas ascenseur
Rédigé par H. Habrias
Version n° 1 du 13-04-2004
1- Un ascenseur est composé d’une cabine pourvue d’une porte et de portes palières à chaque étage (on comptera dans les étages le rez-de-chaussée) desservi par la cabine.
2 - La cabine dispose à l’intérieur de boutons, un bouton par étage desservi.
3 - Les utilisateurs appuient sur le bouton intérieur qui indique l’étage où ils veulent aller. Le bouton est alors éclairé.
4 - Plusieurs boutons intérieurs peuvent être éclairés en même temps.
5 - Quand la cabine arrive à un étage demandé par un des utilisateurs, le bouton intérieur cesse d’être éclairé. La porte de la cabine s’ouvre en même temps que la porte palière.
6 - Au bout de 20 secondes, la porte de la cabine et la porte palière se referment en même temps.
7 - La porte palière d’un étage ne doit pas être ouverte si la cabine n’est pas à l’étage.
8 - La cabine ne doit pas être déplacée si la porte de la cabine est ouverte et si la porte palière est ouverte.
9 - Il y a deux boutons par étage. Ils sont situés à droite de la porte palière : un pour demander (en appuyant sur le bouton) la cabine pour descendre, un pour demander la cabine pour monter. Bien sûr le rez-de-chaussée et le dernier étage n’ont qu’un seul de ces deux boutons.
10 - Une fois qu’un utilisateur a appuyé sur un bouton, ce bouton s’éclaire. L’éclairage du bouton cesse lorsque la cabine qui va dans la direction du bouton s’arrête à l’étage.
11- On peut avoir les deux boutons de l’étage éclairés en même temps.
12 - Des capteurs permettent de savoir si une porte est fermée, si la cabine est arrivée à tel étage.
13 - Bien sûr des actionneurs permettent à la cabine de se déplacer, aux portes d’être ouvertes ou d’être fermées.
Question n°1
Listez les entrées (les événements) du système de contrôle de l’ascenseur.
Question n°2
Listez les commandes émises par le système de contrôle de l’ascenseur.
Question n°3
Faire l’automate de l’interface homme/système ascenseur.
Question n°4
Ecrire formellement les deux exigences suivantes :
- La porte palière d’un étage ne doit pas être ouverte si la cabine n’est pas à l’étage.
- La cabine ne doit pas être déplacée si la porte de la cabine est ouverte et si la porte palière est ouverte.
Question n°5
Enoncez une propriété :
d’absence de verrou fatal
de famine
Navigation lights
Les feux de navigation (navigation lights)
Version n° 1 du 17-05-2005
Rédigé par H. Habrias
____________________________________________________
Les aéronefs doivent avoir des feux de navigation dont les " Right-of-Way lights".
Un feu rouge est monté sur le côté gauche de l’aéronef et un feu vert sur son côté
droit. Ils servent quand deux aéronefs ont une direction qui les conduit à une
collision : si un pilote voit un aéronef sur une route qui croise la sienne, il
verra soit son feu rouge soit son feu vert. Si il voit le vert, il sait que c’est à
lui de passer. Si il voit le rouge, il sait que c’est à l’autre de passer.
On suppose qu'un avion ne voit qu'un des feux de l'autre avion et que quand l'un
voit un feu de l'autre, l'autre voit le feu du premier.
Vous considérerez deux aéronefs et spécifierez le comportement de ceux-ci tel que
décrit ci-dessus. Vous utilisez LTSA.
1) Dans une première spécification, vous utiliserez le renommage des actions
2) Dans une deuxième spécification, vous utiliserez le renommage des processus et
des actions
AVION1= (av1VoitRouge -> av1_laissePasser -> AVION1 | av1VoitVert -> av1_passe ->
AVION1).
AVION2 = (av2VoitRouge -> av2_laissePasser -> AVION2 | av2VoitVert -> av2_passe ->
AVION2).
||AV1_AV2 = (AVION1 || AVION2)/ {av2VoitRouge / av1VoitVert, aV2VoitVert/av1VoitRouge,
av2_laissePasser/ av1_passe,av2_passe/av1_laissePasser}.
AVION = (voitRouge -> laissePasser -> AVION | voitVert -> passe -> AVION).
||DEUX_AVIONS = (a:AVION || b:AVION||{a,b}::AVION)/{b.voitRouge/a.voitVert,
b.voitVert/a.voitRouge, b.laissePasser/a.passe, b.passe/a.laissePasser}.
Version n° 1 du 17-05-2005
Rédigé par H. Habrias
____________________________________________________
Les aéronefs doivent avoir des feux de navigation dont les " Right-of-Way lights".
Un feu rouge est monté sur le côté gauche de l’aéronef et un feu vert sur son côté
droit. Ils servent quand deux aéronefs ont une direction qui les conduit à une
collision : si un pilote voit un aéronef sur une route qui croise la sienne, il
verra soit son feu rouge soit son feu vert. Si il voit le vert, il sait que c’est à
lui de passer. Si il voit le rouge, il sait que c’est à l’autre de passer.
On suppose qu'un avion ne voit qu'un des feux de l'autre avion et que quand l'un
voit un feu de l'autre, l'autre voit le feu du premier.
Vous considérerez deux aéronefs et spécifierez le comportement de ceux-ci tel que
décrit ci-dessus. Vous utilisez LTSA.
1) Dans une première spécification, vous utiliserez le renommage des actions
2) Dans une deuxième spécification, vous utiliserez le renommage des processus et
des actions
AVION1= (av1VoitRouge -> av1_laissePasser -> AVION1 | av1VoitVert -> av1_passe ->
AVION1).
AVION2 = (av2VoitRouge -> av2_laissePasser -> AVION2 | av2VoitVert -> av2_passe ->
AVION2).
||AV1_AV2 = (AVION1 || AVION2)/ {av2VoitRouge / av1VoitVert, aV2VoitVert/av1VoitRouge,
av2_laissePasser/ av1_passe,av2_passe/av1_laissePasser}.
AVION = (voitRouge -> laissePasser -> AVION | voitVert -> passe -> AVION).
||DEUX_AVIONS = (a:AVION || b:AVION||{a,b}::AVION)/{b.voitRouge/a.voitVert,
b.voitVert/a.voitRouge, b.laissePasser/a.passe, b.passe/a.laissePasser}.
Le vote par procuration
Cas procurations
Rédigé par Henri Habrias
version n° 1 du 18-05-2005
________________________________________________
Un électeur qui ne peut pour une des raisons énoncées par la loi voter en personne
lors d'un scrutin, peut donner procuration à une autre personne appelée le
mandataire. La personne qui donne procuration s'appelle le mandant.
L'Article L.75 du code électoral énonce que : "Le mandant a toujours la faculté de
résilier sa procuration. Il peut donner une nouvelle procuration." Et l'Article L.76
énonce que : " Tout mandant peut voter personnellement s'il se présente au bureau de
vote avant que le mandataire ait exercé ses pouvoirs."
Bien sûr, il se peut qu'aucun des deux ne vote.
Voici la spécification qui a été faite en LTS par Dudule. Vous allez utiliser LTSA
pour analyser et faire les vérifications de cette spécification.
range MANDATAIRES =0..1
PROCURATIONS = PROCU[0],
PROCU[mandataire: MANDATAIRES]=(donneProcurationA[mandataire :MANDATAIRES] -> procu
->annule -> plusDeProcu -> PROCU[mandataire +1]).
VOTE = (procu -> voteMandataire[mandataire :MANDATAIRES] -> STOP | voteMandant
->STOP | fermetureBureau -> STOP).
||VOTE_PAR_PROCURATION =(PROCURATIONS || VOTE).
Question n° 1
Rédigez vos constatations
Question n°2
S'il y a erreurs, énoncez-les par écrit.
Question n° 3
Donnez votre solution.
Rédigé par Henri Habrias
version n° 1 du 18-05-2005
________________________________________________
Un électeur qui ne peut pour une des raisons énoncées par la loi voter en personne
lors d'un scrutin, peut donner procuration à une autre personne appelée le
mandataire. La personne qui donne procuration s'appelle le mandant.
L'Article L.75 du code électoral énonce que : "Le mandant a toujours la faculté de
résilier sa procuration. Il peut donner une nouvelle procuration." Et l'Article L.76
énonce que : " Tout mandant peut voter personnellement s'il se présente au bureau de
vote avant que le mandataire ait exercé ses pouvoirs."
Bien sûr, il se peut qu'aucun des deux ne vote.
Voici la spécification qui a été faite en LTS par Dudule. Vous allez utiliser LTSA
pour analyser et faire les vérifications de cette spécification.
range MANDATAIRES =0..1
PROCURATIONS = PROCU[0],
PROCU[mandataire: MANDATAIRES]=(donneProcurationA[mandataire :MANDATAIRES] -> procu
->annule -> plusDeProcu -> PROCU[mandataire +1]).
VOTE = (procu -> voteMandataire[mandataire :MANDATAIRES] -> STOP | voteMandant
->STOP | fermetureBureau -> STOP).
||VOTE_PAR_PROCURATION =(PROCURATIONS || VOTE).
Question n° 1
Rédigez vos constatations
Question n°2
S'il y a erreurs, énoncez-les par écrit.
Question n° 3
Donnez votre solution.
L'écluse
Un de mes sujets de Spec2
Il s'agit de spécifier le contrôleur d'une écluse. Il actionne l'ouverture et la
fermeture des deux portes (amont et aval) de l'écluse.
On considère le fonctionnement nominal : en aucun cas, les deux portes ne peuvent
être ouvertes en même temps.
C'est l'éclusier qui décide de l'ouverture et de la fermeture des portes et de
l'éclusage (remplissage ou vidage du sas, plus exactement, mise de l'eau dans le
sas au niveau amont ou mise au niveau aval).
Question n° 0
Faire un schéma des différents états de l'écluse...un dessin !
Donner les entrées et les sorties du contrôleur.
Noter la séquence des événements pour les deux scenarios :
- éclusage amont vers aval
- éclusage aval vers amont
Question n° 1 (nota : j'ai séparé en 2 questions mais bien sûr, j'ai fait les deux
à la fois !)
Spécifier avec des automates de Harel
Question n° 2
Spécifier en B (c'est souvent plus facile de dire les choses en B qu'avec les
automates, à moins de les compléter sans être sûr de la sémantique) classique et
événementiel.
On va plus loin...
On considère maintenant les bâteaux/navires. Les bâteaux/navirres ne sont autorisés
à entrer dans le sas que si le feu de la porte d'entrée (peut-être certains
considéreront des portes d'entrée et des portes de sortie...comme des dates de
naissance et des dates de décès ! voir l'exemple du tunnel et du sketch de Raymond
Devos) est vert, idem pour la sortie. On ne veut pas qu'ils commencent à sortir
alors que la porte n'est pas complètement ouverte. On ne prend pas en compte un
temps d'ouverture. Mais c'est l'éclusier qui fait passer les feux du rouge au vert
et du vert au rouge.
Bien sûr, (il faudrait faire trouver cette exigences par les étudiants...c'est ce
qui est intéressant en spec !) si le feu de la porte aval est au vert, le niveau
dans le sas doit être à la position basse.
On va plus loin...
Les bâteaux ou navires (chaque bâteau ou navire a une immatriculation. Voir annexe
sur la définition de ce qu'est un bâteau et un navire) arrivant à l'écluse se
signalent dès leur arrivée pour prendre un numéro d'ordre d'arrivée. L'éclusier lit
l'identifiant du bâteau sur la coque de ce dernier.
>Lors de l'éclusage, décidé par l'éclusier, l'éclusier fait entrer les bâteaux dans
le sas, pas forcément dans l'ordre d'arrivée (c'est son métier de positionner les
bateaux dans le sas avec le moins de manoeuvres possibles. On est loin de pouvoir
automatiser cela !), mais en faisant en sorte que la règle premier arrivée, premier
éclusé soit respectée.
Et en complément...traiter de l'identification des bâteaux et navires de
nationalité française.
Annexe :
L'immatriculation des navires consiste:
i) à attribuer au bateau un numéro à six chiffres, précédé des initiales des
quartiers d'immatriculation. Il sera porté sur la coque du bateau si celui-ci a une
puissance réelle supérieure à 7,36 kw (10 CV);
Dans l'immatriculation, les Lettres sont l'abbréviation du quartier maritime, et
les chiffres le numéro du bateau dans ce quartier.
Exemple de quartiers :
LO - Lorient
AY - Auray
VA - Vannes
SN - Saint-Nazaire
NA - Nantes
NO - Noirmoutier
YE - Yeu
LS - Les-Sables-d'Olonne
LR - La RochelleCherbourg = CH
Rappel des textes réglementaires
Tout navire de plaisance ( les engins de plage ne sont pas immatriculables)
naviguant en mer doit être immatriculé dans un service des affaires maritimes.
Le numéro d’immatriculation est porté sur le titre de navigation du navire qui est :
* Soit une carte de circulation (modèle simplifié) pour les navires d’une jauge
brute égale ou inférieure à 3 tonneaux délivrée par les affaires maritimes ;
* Soit un document commun douanes / affaires maritimes valant acte de
francisation et titre de navigation (carte de circulation) pour les navires
d’une jauge brute supérieure à 3 tonneaux.
Sont aussi soumis à la procédure de francisation, (détention d’un acte de
francisation) les navires de 3 tonneaux et moins se rendant dans les eaux
territoriales étrangères.
Par opposition aux Navires, qui sont les embarcations et engins destinés à aller
sur la mer, les Bateaux sont les embarcations circulant ou stationnant sur les
fleuves, rivières, canaux, lacs, retenues ou étangs d'eau douce, autrement
dénommées les Eaux Intérieures.
En conséquence, la distinction ne se fait pas sur les caractéristiques intrinsèques
de l'embarcation, mais sur le parcours qu'elle réalise, et sur son immatriculation
dans un quartier des affaires maritime ou dans un port fluvial ou lacustre.
C'est ainsi qu'une même embarcation pourra voire sa qualification varier selon son
immatriculation.
Ceci concerne les bâteaux allant sur l'eau salée. Quant à ceux allant sur l'eau
douce (les navires), c'est le ministère de l'équipement qui s'en occupe.
Il existe 10 Commissions de surveillance de la navigation {Nantes, Nancy, Lyon,
Douai, Bordeaux, Strasbourg, Toulouse, Varennes, Rouen, Paris}. Nantes est
identifié par la suite NT. Le bâteau est identifié par le couple (commission,
entier). Cet entier est le numéro d'ordre d'identification du bâteau dans la
commission. A Nantes, on vient de dépasser 4900.
Le bâteau peut conserver son premier identifiant toute sa vie. Mais il est possible
de faire une radiation et une nouvelle identification dans une autre commission.
Les bâteaux venant d'un autre pays que la France doivent respecter les règles de
leur pays d'immatriculation.
(informations vérifiées par téléphone auprès des Administrations concernées)
extrait du poly, sujets de TD Spec2 accessible via mes pages web.
Il s'agit de spécifier le contrôleur d'une écluse. Il actionne l'ouverture et la
fermeture des deux portes (amont et aval) de l'écluse.
On considère le fonctionnement nominal : en aucun cas, les deux portes ne peuvent
être ouvertes en même temps.
C'est l'éclusier qui décide de l'ouverture et de la fermeture des portes et de
l'éclusage (remplissage ou vidage du sas, plus exactement, mise de l'eau dans le
sas au niveau amont ou mise au niveau aval).
Question n° 0
Faire un schéma des différents états de l'écluse...un dessin !
Donner les entrées et les sorties du contrôleur.
Noter la séquence des événements pour les deux scenarios :
- éclusage amont vers aval
- éclusage aval vers amont
Question n° 1 (nota : j'ai séparé en 2 questions mais bien sûr, j'ai fait les deux
à la fois !)
Spécifier avec des automates de Harel
Question n° 2
Spécifier en B (c'est souvent plus facile de dire les choses en B qu'avec les
automates, à moins de les compléter sans être sûr de la sémantique) classique et
événementiel.
On va plus loin...
On considère maintenant les bâteaux/navires. Les bâteaux/navirres ne sont autorisés
à entrer dans le sas que si le feu de la porte d'entrée (peut-être certains
considéreront des portes d'entrée et des portes de sortie...comme des dates de
naissance et des dates de décès ! voir l'exemple du tunnel et du sketch de Raymond
Devos) est vert, idem pour la sortie. On ne veut pas qu'ils commencent à sortir
alors que la porte n'est pas complètement ouverte. On ne prend pas en compte un
temps d'ouverture. Mais c'est l'éclusier qui fait passer les feux du rouge au vert
et du vert au rouge.
Bien sûr, (il faudrait faire trouver cette exigences par les étudiants...c'est ce
qui est intéressant en spec !) si le feu de la porte aval est au vert, le niveau
dans le sas doit être à la position basse.
On va plus loin...
Les bâteaux ou navires (chaque bâteau ou navire a une immatriculation. Voir annexe
sur la définition de ce qu'est un bâteau et un navire) arrivant à l'écluse se
signalent dès leur arrivée pour prendre un numéro d'ordre d'arrivée. L'éclusier lit
l'identifiant du bâteau sur la coque de ce dernier.
>Lors de l'éclusage, décidé par l'éclusier, l'éclusier fait entrer les bâteaux dans
le sas, pas forcément dans l'ordre d'arrivée (c'est son métier de positionner les
bateaux dans le sas avec le moins de manoeuvres possibles. On est loin de pouvoir
automatiser cela !), mais en faisant en sorte que la règle premier arrivée, premier
éclusé soit respectée.
Et en complément...traiter de l'identification des bâteaux et navires de
nationalité française.
Annexe :
L'immatriculation des navires consiste:
i) à attribuer au bateau un numéro à six chiffres, précédé des initiales des
quartiers d'immatriculation. Il sera porté sur la coque du bateau si celui-ci a une
puissance réelle supérieure à 7,36 kw (10 CV);
Dans l'immatriculation, les Lettres sont l'abbréviation du quartier maritime, et
les chiffres le numéro du bateau dans ce quartier.
Exemple de quartiers :
LO - Lorient
AY - Auray
VA - Vannes
SN - Saint-Nazaire
NA - Nantes
NO - Noirmoutier
YE - Yeu
LS - Les-Sables-d'Olonne
LR - La RochelleCherbourg = CH
Rappel des textes réglementaires
Tout navire de plaisance ( les engins de plage ne sont pas immatriculables)
naviguant en mer doit être immatriculé dans un service des affaires maritimes.
Le numéro d’immatriculation est porté sur le titre de navigation du navire qui est :
* Soit une carte de circulation (modèle simplifié) pour les navires d’une jauge
brute égale ou inférieure à 3 tonneaux délivrée par les affaires maritimes ;
* Soit un document commun douanes / affaires maritimes valant acte de
francisation et titre de navigation (carte de circulation) pour les navires
d’une jauge brute supérieure à 3 tonneaux.
Sont aussi soumis à la procédure de francisation, (détention d’un acte de
francisation) les navires de 3 tonneaux et moins se rendant dans les eaux
territoriales étrangères.
Par opposition aux Navires, qui sont les embarcations et engins destinés à aller
sur la mer, les Bateaux sont les embarcations circulant ou stationnant sur les
fleuves, rivières, canaux, lacs, retenues ou étangs d'eau douce, autrement
dénommées les Eaux Intérieures.
En conséquence, la distinction ne se fait pas sur les caractéristiques intrinsèques
de l'embarcation, mais sur le parcours qu'elle réalise, et sur son immatriculation
dans un quartier des affaires maritime ou dans un port fluvial ou lacustre.
C'est ainsi qu'une même embarcation pourra voire sa qualification varier selon son
immatriculation.
Ceci concerne les bâteaux allant sur l'eau salée. Quant à ceux allant sur l'eau
douce (les navires), c'est le ministère de l'équipement qui s'en occupe.
Il existe 10 Commissions de surveillance de la navigation {Nantes, Nancy, Lyon,
Douai, Bordeaux, Strasbourg, Toulouse, Varennes, Rouen, Paris}. Nantes est
identifié par la suite NT. Le bâteau est identifié par le couple (commission,
entier). Cet entier est le numéro d'ordre d'identification du bâteau dans la
commission. A Nantes, on vient de dépasser 4900.
Le bâteau peut conserver son premier identifiant toute sa vie. Mais il est possible
de faire une radiation et une nouvelle identification dans une autre commission.
Les bâteaux venant d'un autre pays que la France doivent respecter les règles de
leur pays d'immatriculation.
(informations vérifiées par téléphone auprès des Administrations concernées)
extrait du poly, sujets de TD Spec2 accessible via mes pages web.
mercredi 9 avril 2008
"Far from us, Sire, the dangerous novelty of thinking"
"When King Ferdinand visited the conservative University of Cervera, the Rector proudly reassured the monarch with the words :
"Far from us, Sire, the dangerous novelty of thinking"
E. Dijkstra in A Debate On Teaching Computer Science, CACM, December 1989, Volume 32, Number 12
"So, if I look my foofy cristal ball at the future of computing science education, I overwhelmingly see the depressing picture of 'business as usual'. The university will continue to lack the courage to teach hard science ; they will continue to misguide the students and each next stage of infantilization of the curriculum will be hailed as educational progress."
E. Dijkstra in A Debate On Teaching Computer Science, CACM, December 1989, Volume 32, Number 12
"Far from us, Sire, the dangerous novelty of thinking"
E. Dijkstra in A Debate On Teaching Computer Science, CACM, December 1989, Volume 32, Number 12
"So, if I look my foofy cristal ball at the future of computing science education, I overwhelmingly see the depressing picture of 'business as usual'. The university will continue to lack the courage to teach hard science ; they will continue to misguide the students and each next stage of infantilization of the curriculum will be hailed as educational progress."
E. Dijkstra in A Debate On Teaching Computer Science, CACM, December 1989, Volume 32, Number 12
L'éducation impose de "se souvenir de l'avenir plutôt que de flatter l'aujourd'hui"
Hans Jonas, philosophe allemand cité par Ph. Meirieu dans Le Monde du jeudi 25 nov. 2004, page 20
mardi 8 avril 2008
Nous ne sommes pas curieux, mais nous voudrions savoir ...
Proposition de plan de soutenance de projet
ou de stage
(en tout cas, points attendus par les enseignants de génie logiciel)
rédigée par Henri Habrias
version n° 3 du 8-04-05
- La demande du client
- Motivation de cette demande
- Délimitation du domaine qui a été considéré
- "Cycle" de développement suivi
- Comment a été fait le suivi de ce développement
- Comment est assurée la "traçabilité" tout le long du développement
- Planning initial et évolution de ce planning, évolution du périmètre du
projet (décisions prises en cours de projet)
- Spécifications fonctionnelles, choix de mode de développement (par ex.
"programmation défensive vs offensive, architecture en couche, etc.)
- Contraintes économiques, juridiques, normatives
- Exigences en termes de sécurité, confidentialité, disponibilité, etc.
- Architecture fonctionnelle
- Architecture physique
- Conception (de la spéc. fonctionnelle à l'implantation), les choix
possibles, ce qui a été choisi, justification
- Normes ou bonnes pratiques de codage, de documentation suivies
- Vérifications, techniques utilisées (preuve, model-checking, tests)
- Pour les tests, stratégies de tests, couvertures, oracles de test , échafaudages de tests construits (différence entre le livrable et le non livrable)
- Validation auprès du client
- Déploiement du logiciel, formation des utilisateurs, mode d'emploi etc.
- Etat final du projet (réalisé (spécifié, implanté, vérifié, validé,
etc.), reste à faire, état du dossier de suite ("développement durable" !)
- Qu'en est-il de la réutilisation possible du travail effectué ? Est-ce que ce projet peut être continué ou faudra-t-il recommencer à zéro ? Argumentation.
- Conclusion (écart entre but et réalisation, problèmes rencontrés et
solutions trouvées, élargissement du périmètre, etc.)
- "Démonstration" du logiciel
Pour celle-ci annoncez ce que vous voulez nous "démontrer" avant de faire des manipulations. Montrez que le logiciel fait bien ce qui était demandé, respecte les exigences.
H. Habrias
ou de stage
(en tout cas, points attendus par les enseignants de génie logiciel)
rédigée par Henri Habrias
version n° 3 du 8-04-05
- La demande du client
- Motivation de cette demande
- Délimitation du domaine qui a été considéré
- "Cycle" de développement suivi
- Comment a été fait le suivi de ce développement
- Comment est assurée la "traçabilité" tout le long du développement
- Planning initial et évolution de ce planning, évolution du périmètre du
projet (décisions prises en cours de projet)
- Spécifications fonctionnelles, choix de mode de développement (par ex.
"programmation défensive vs offensive, architecture en couche, etc.)
- Contraintes économiques, juridiques, normatives
- Exigences en termes de sécurité, confidentialité, disponibilité, etc.
- Architecture fonctionnelle
- Architecture physique
- Conception (de la spéc. fonctionnelle à l'implantation), les choix
possibles, ce qui a été choisi, justification
- Normes ou bonnes pratiques de codage, de documentation suivies
- Vérifications, techniques utilisées (preuve, model-checking, tests)
- Pour les tests, stratégies de tests, couvertures, oracles de test , échafaudages de tests construits (différence entre le livrable et le non livrable)
- Validation auprès du client
- Déploiement du logiciel, formation des utilisateurs, mode d'emploi etc.
- Etat final du projet (réalisé (spécifié, implanté, vérifié, validé,
etc.), reste à faire, état du dossier de suite ("développement durable" !)
- Qu'en est-il de la réutilisation possible du travail effectué ? Est-ce que ce projet peut être continué ou faudra-t-il recommencer à zéro ? Argumentation.
- Conclusion (écart entre but et réalisation, problèmes rencontrés et
solutions trouvées, élargissement du périmètre, etc.)
- "Démonstration" du logiciel
Pour celle-ci annoncez ce que vous voulez nous "démontrer" avant de faire des manipulations. Montrez que le logiciel fait bien ce qui était demandé, respecte les exigences.
H. Habrias
jeudi 3 avril 2008
Erratum (Corrigé DS)
Je reçois à l'instant ce courriel (non anonyme) d'un étudiant
> Bonjour,
> Excusez-moi de vous déranger, mais en feuilletant votre correction à
> plusieurs, nous étions pas d'accord avec votre réponse de la question 12
> sur les arbres de Jackson. Votre réponse est JAC3 alors que nous auvon> mis JAC2. Avec JAC3, on est obligé de passer par DC (divorce) alors que
> normalement on devrait avoir un choix indéterministe entre DC(décès
> conjoint) ET DV.
>
> Merci.
>
> Jxxx Mxxxxx
>
>
Vous avez bien sûr raison. Une co(q)uille dans mon corrigé. Je communique cette réponse urbi et orbi !
C'est moi qui vous remercie.
Il devrait bien y avoir d'autres coquilles. Je n'ai pas imprimé le fichier et je suis plutôt mauvais pour détecter les coquilles sur écran !
Travailler à plusieurs c'est toujours bien. La relecture par autrui est une des meilleures techniques du génie logiciel !
> Bonjour,
> Excusez-moi de vous déranger, mais en feuilletant votre correction à
> plusieurs, nous étions pas d'accord avec votre réponse de la question 12
> sur les arbres de Jackson. Votre réponse est JAC3 alors que nous auvon> mis JAC2. Avec JAC3, on est obligé de passer par DC (divorce) alors que
> normalement on devrait avoir un choix indéterministe entre DC(décès
> conjoint) ET DV.
>
> Merci.
>
> Jxxx Mxxxxx
>
>
Vous avez bien sûr raison. Une co(q)uille dans mon corrigé. Je communique cette réponse urbi et orbi !
C'est moi qui vous remercie.
Il devrait bien y avoir d'autres coquilles. Je n'ai pas imprimé le fichier et je suis plutôt mauvais pour détecter les coquilles sur écran !
Travailler à plusieurs c'est toujours bien. La relecture par autrui est une des meilleures techniques du génie logiciel !
Un livre rarement cité dans les biblios de spec
Pascal Gochet, Pascal Gribomont, Logique, méthodes formelles pour l'étude des programmes, Vol. 2, Hermes, 1994
Le certangle (Bubtangle)
Le certangle
Voici un autre terme que j'ai retrouvé sur la Toile. Mais sans la source. Alors voici ma contribution sur la Toile.
Dans mon Dictionnaire encyclopédique du génie logiciel, Masson, page 58 je cite Boar qui dans la défunte revue américaine Datamation, s'est amusé à proposer le Bubtangle. A l'époque, les américains utilisaient des bulles (des cercles)et des rectangles. Le Mac n'était pas encore né, avec ses belles icônes.
Extrait :
"Comme informaticien, j'ai été confronté à l'incompatibilité. Les compilateurs, les systèmes d'exploitation et même les symboles de 'processus' (le "Bubble") de Yourdon et De Marco vs les rectangles de l'Analyse structurée de Gane et Sarson) sont incompatibles. Je ne peux rien faire au sujet des systèmes d'exploitation ou des compilateurs mais j'ai une suggestion au sujet du symbole de 'processus'. Je propose à cet effet le Bubtangle *, une standardisation du symbole de 'processus'."
"Le Bubtangle offre à la communauté des informaticiens les avantages suivants :
- Il intégre les meilleures caractéristiques à la fois du cercle et du rectangle ;
- C'est un symbole internationalement reconnu ;
- Il sonne mieux que 'recle' ;
- Il est compatible vers le haut (ce qui n'est pas le cas de Cobol-80) et ne rend pas obsolète l'investissement actuel en technologie de la bulle ou du rectangle ;
- Il permettrait l'usage des bulles et des rectangles à de plus bas niveaux de décomposition, conservant ainsi l'investissement en diagrammes ;
- L'industrie nécessaire pour réaliser des millions de normographes de Bubtangles est prête du fait de la dépression ;
- Il éliminera la querelle Bulles/Rectangles ** et permettra aux équipes d'analyse de se focaliser sur d'autres thèmes ;
- Le Bubtangle est à 75% un rectangle et à 50% une bulle, ce qui fait un Bubtangle de 125% ;
- Il est non procédural, 'user friendly' ***, et relationnel **** ;
- Il fournit un terrain de rencontre pour les personnes fières de la bulle et celles fières des rectangles ;
- Il est compatible Ada" (Boar, Datamation *****)
* Je ne sais plus qui m'a proposé d'utiliser le terme certangle. S'il me lit, qu'il m'écrive. Je mettrai à jour immédiatement cette page !
** Chaque époque ne peut avoir sa "querelle des universaux" !
*** Les Français, qui n'ont pas lu Illich, disent "convivial"
**** Quelques années plus tard, on aurait dit "objet". Aujourdh'ui ? "Virtuel" ?
***** J'ai perdu la source et bien sûr, rien sur la Toile. Si quelqu'un a conservé l'article de Boar, qu'il me fasse signe.
Voici un autre terme que j'ai retrouvé sur la Toile. Mais sans la source. Alors voici ma contribution sur la Toile.
Dans mon Dictionnaire encyclopédique du génie logiciel, Masson, page 58 je cite Boar qui dans la défunte revue américaine Datamation, s'est amusé à proposer le Bubtangle. A l'époque, les américains utilisaient des bulles (des cercles)et des rectangles. Le Mac n'était pas encore né, avec ses belles icônes.
Extrait :
"Comme informaticien, j'ai été confronté à l'incompatibilité. Les compilateurs, les systèmes d'exploitation et même les symboles de 'processus' (le "Bubble") de Yourdon et De Marco vs les rectangles de l'Analyse structurée de Gane et Sarson) sont incompatibles. Je ne peux rien faire au sujet des systèmes d'exploitation ou des compilateurs mais j'ai une suggestion au sujet du symbole de 'processus'. Je propose à cet effet le Bubtangle *, une standardisation du symbole de 'processus'."
"Le Bubtangle offre à la communauté des informaticiens les avantages suivants :
- Il intégre les meilleures caractéristiques à la fois du cercle et du rectangle ;
- C'est un symbole internationalement reconnu ;
- Il sonne mieux que 'recle' ;
- Il est compatible vers le haut (ce qui n'est pas le cas de Cobol-80) et ne rend pas obsolète l'investissement actuel en technologie de la bulle ou du rectangle ;
- Il permettrait l'usage des bulles et des rectangles à de plus bas niveaux de décomposition, conservant ainsi l'investissement en diagrammes ;
- L'industrie nécessaire pour réaliser des millions de normographes de Bubtangles est prête du fait de la dépression ;
- Il éliminera la querelle Bulles/Rectangles ** et permettra aux équipes d'analyse de se focaliser sur d'autres thèmes ;
- Le Bubtangle est à 75% un rectangle et à 50% une bulle, ce qui fait un Bubtangle de 125% ;
- Il est non procédural, 'user friendly' ***, et relationnel **** ;
- Il fournit un terrain de rencontre pour les personnes fières de la bulle et celles fières des rectangles ;
- Il est compatible Ada" (Boar, Datamation *****)
* Je ne sais plus qui m'a proposé d'utiliser le terme certangle. S'il me lit, qu'il m'écrive. Je mettrai à jour immédiatement cette page !
** Chaque époque ne peut avoir sa "querelle des universaux" !
*** Les Français, qui n'ont pas lu Illich, disent "convivial"
**** Quelques années plus tard, on aurait dit "objet". Aujourdh'ui ? "Virtuel" ?
***** J'ai perdu la source et bien sûr, rien sur la Toile. Si quelqu'un a conservé l'article de Boar, qu'il me fasse signe.
mercredi 2 avril 2008
"S'es carculat tot l'aprés-miegjorn"
Mot à mot : Il s'est calculé tout l'après-midi
En limousin, veut dire : il a réfléchi.
En limousin, veut dire : il a réfléchi.
Le corrigé de l'examen de spécification 2
Je vous l'ai adressé ce jour par courriel.
Accompagné du sujet avec le corrections fournies lors de l'épreuve de lundi.
Copie de mon courriel pour ceux qui systématiquement n'ouvrent pas les courriels des enseignants malgré les rappels au tableau d'affichage :
"J'attends vos explications AVANT le LUNDI 28 AVRIL 2008 à 17 heures
(copies à me fournir via votre représentant de groupe ET NON sous forme de
corps de messages de courriel.)
En effet, je dois respecter la date limite de rendu des notes. Il me
faudra lire vos explications. Soignez vos textes ! Je ne peux passer plus
d'une heure par copie !
Pour la même date, j'attends votre auto-notation (en respectant ce qui est
écrit dans le corrigé).
En fichiers attachés .pdf, le sujet avec corrections faites lors du D, et
le corrigé."
P.S. les collègues lecteurs de ce message peuvent me demander par courriel, sujets et corrigés
Accompagné du sujet avec le corrections fournies lors de l'épreuve de lundi.
Copie de mon courriel pour ceux qui systématiquement n'ouvrent pas les courriels des enseignants malgré les rappels au tableau d'affichage :
"J'attends vos explications AVANT le LUNDI 28 AVRIL 2008 à 17 heures
(copies à me fournir via votre représentant de groupe ET NON sous forme de
corps de messages de courriel.)
En effet, je dois respecter la date limite de rendu des notes. Il me
faudra lire vos explications. Soignez vos textes ! Je ne peux passer plus
d'une heure par copie !
Pour la même date, j'attends votre auto-notation (en respectant ce qui est
écrit dans le corrigé).
En fichiers attachés .pdf, le sujet avec corrections faites lors du D, et
le corrigé."
P.S. les collègues lecteurs de ce message peuvent me demander par courriel, sujets et corrigés
Dans le Dictionnaire de la bêtise, cette citation :
Dans le Dictionnaire de la bêtise, cette citation :
"Amphibie
Exemple et définitions :
Les baleines, ces colosses de la création, sont des animaux à mamelles comme nous. Ils sont amphibies, c'est-à-dire qu'ils peuvent vivre simultanément dans l'eau et dans l'air.
Le Petit Marseillais, 30 mai 1926
"Amphibie
Exemple et définitions :
Les baleines, ces colosses de la création, sont des animaux à mamelles comme nous. Ils sont amphibies, c'est-à-dire qu'ils peuvent vivre simultanément dans l'eau et dans l'air.
Le Petit Marseillais, 30 mai 1926
mardi 1 avril 2008
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