Relevé dans les copies :
- La différence essentielle entre le B classique et le B événementiel :
"le B événementiel trait le cas qui séffectue que une foi lord de l'event"
- Les différences importantes (hors celles relatives à la représentation graphique) entre les Réseaux de Petri et le Grafcet :
"Le réseau de Pétri prend en compte les blocages possible en déffinissant le nombre d'éléments (jeton)"
Quand j'ai des réponses, elles sont de ce type. Bof bof bof.
Et ce qui est inquiétant ce sont les contradictions ou ... je ne sais comment qualifier.
Exemple :
On vous demande "est-ce que le système S1 et le système S2 sont en bissimulation faible ?" et au lieu de me répondre oui ou non, certains ont rédigé comme réponse :
"S1" est en bissimulation faible.
Etonnant n'est-ce pas ? On vous demande si a= b et vous répondez "a est égal".
Et heureusement que ça fait bien longtemps que les enseignants n'écrivent plus qu'ils enlèveront des points pour les fautes d'orthographe.
Quand on demande une réponse formelle, on n'en obtient pas et quand on la demande sous forme de deux à trois phrases en français, c'est affligeant.
J'ai trouvé :
momment
dir
les tiraits
propriété de progret
et bien sûr participe passé, infinitif, c'est quoi ? On comprend que des étudiants (?!) qui écrivent ainsi aient bien des difficultés à modéliser ou même à lire des modélisations. Mais nous approchons de l'informatique de nouvelle génération : il suffira de demander à l'ordinateur "pouvez vous me dire ce que je veux ?".
et beaucoup (au moins 1/3) ne recopient même pas correctement les mots de la question.
Exemple : Je demandais "qui a raison" et j'obtiens comme réponse "Duchnock a résondt"
Il y en a encore trop qui ne savent toujours pas ce qu'est une fonction. C'est qu'ils n'ont jamais vu cela au lycée, à l'Iut. Evident !
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